Depuis plusieurs années, le travail « stupide » prospère et se multiplie. En tant qu’armoiries, il est identifié par , en tant que « vice-président coordonnateur des communications stratégiques ». Mais loin de vendre un rêve, ce genre de poste n’est qu’un artifice à cacher le fait que ce commerce… n’a tout simplement pas de sens.
Emile Durkheim l’a prédit : la perte de normes et de repères sera le prochain mal de notre siècle. Et que se traduit dans le monde du travail. Popularisé par David Graeber en 2013, le phénomène du travail de merde est de plus en plus et montre que les métiers les vides de sens sont maintenant un grand phénomène social. Pour les jeunes générations entrant sur le marché du travail et veulent exercer activité qui les fascine, nous parlons aussi d’une crise d’importance.
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À l’ère des « emplois à la conne », comment éviter ces emplois absurdes et inutiles ? Comment les identifier ?
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Job merde : ou l’art de faire un travail « stupide »
Ça peut sembler difficile à croire, mais la merde est partout. Il y a aussi la possibilité que vous soyez entouré par un être cher faisant ce genre de commerce, ou c’est votre cas. Pour le définir d’une manière simple, le travail en fin de compte est un travail sans intérêt, sans utilité sociale, où l’employé lui-même ne trouve aucun sens pour lui. Ce type de travail est souvent contre-productif et peut disparaître sans rien changer (ou presque) dans l’entreprise.
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À ne pas confondre avec ces métiers inclus la société a besoin, mais cela ne reconnaît pas dans sa juste valeur. Si le gommes, infirmières, enseignants d’école, sont nos héros quotidiens, moins le cas d’un « producteur d’expérience mondiale pour les médias autochtones et la recherche pour l’avancement des millénaires ».
Tu n’as rien compris ? Nous non plus. Pourtant, ce genre de titre de poste qui signifie rien n’est maintenant légion dans certains domaines. si n’existait pas avant (au moins, pas aussi communément), la croissance de l’économie des services, les progrès technologiques et du développement du secteur de l’information a rendu cela possible. Dans inventer des produits inutiles, nous créons nécessairement de l’artisanat qui ne Signification.
Il y a aussi plusieurs familles de boulebos. Sauriez-vous reconnaître certains métiers ?
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- Le larbin : c’est ce qu’il ne faut que pour mettre en évidence d’autres personnes et flatter leurs egos. On pourrait l’appeler le flagorneur, ou le laquais de l’ombre… l’image d’un portier chargé en appuyant sur un bouton ouvert afin que les résidents n’ont pas à le faire eux-mêmes.
- Le rafistoler : passe ses jours à corriger les erreurs des autres et à résoudre les problèmes cela ne devrait pas exister.
- Le porte-pistolet : une profession qui n’existe que par le mimétisme. Comme le lobbyiste ou l’avocat qui est embauché juste parce que la société à côté a un.
- Le cocher de la case : ce qui fait que l’on dirait que l’entreprise fait quelque chose alors qui, en fait, ne fait rien. Par exemple, le consultant pour préparer des rapports qui ne seront lus par personne.
Le petit chef : délègue des tâches qui pourraient très bien être effectuées sans lui, à condition que ses subordonnés aient un peu plus d’autonomie.
L’ impact négatif de ces emplois… l’enfer
Que vous soyez au courant ou non de faire de l’exercice travail de merde, cependant, l’impact de ce dernier sur l’esprit est important. Autres d’un homme simple au travail, ayant un métier avec des missions vides sens conduit à un déclin de la confiance en soi, du désespoir et, à long terme, l’anxiété ou même la dépression.
La raison ? Bullshit-job est un expérience peu vécue, ce qui donne le sentiment d’être inutile et de régresser. Au pire, vous exercez également un commerce qui va à l’encontre de la le tien valeurs, de qui vous êtes. Un télévendeur qui vend toute la journée produits dont il sait qu’ils n’ont aucune utilité aura l’impression de faire un travail oppressif, manipulateur.
Les conséquences d’un boulot peuvent être qualifier une autre façon : « brun-out. » Comme le burn-out bien connu, cette maladie professionnelle existe lorsque l’employé ne ne comprend pas, ou plus, son travail.
Un phénomène de rebond, parce qu’un travailleur malchanceux est un travailleur stressé, frustré ou même agressif envers ses employés. Il vient souvent à envier d’autres qui ont des emplois valorisants.
La mauvaise nouvelle, c’est que emplois sont partout et que vous ne pouvez pas être conscient que vous avez une telle travail. La bonne chose est que vous pouvez maintenant le reconnaître et vous libération.
Questions à vous poser pour éviter les craps de travail
Pour savoir si vous êtes vous-même dans un situation de l’emploi merde, voici quelques questions à vous poser :
Mon travail apporte -t-il quelque chose à la société ? Il y aurait une différence s’il a disparu ? Il ne vous est pas demandé de désactiver feu, mais si vous passez votre journée à faire des réunions…
C’ est mon boulot ? Béton ? Puis-je clarifier ? Si vos amis vous demandent encore « J’ai Je ne comprends pas, qu’est-ce que tu fais ? », vous pouvez Des doutes.
C’ est mon boulot ? compatible avec mes valeurs personnelles ? Je fais fleurir Qu’est-ce que je fais ? Si vous gagnez plus de satisfaction, terminez vos plats que de remplir un tâche au travail, pensez-y.
Mes collègues pratiquent Des boulots de taulcrap ? Si c’est le cas, c’est probablement votre cas aussi.
Et si toutes ces questions vous donnent le tournée, répondre à ceci : « ce travail me donne Heureux ? » Si vous vous sentez déprimé le soir après avoir simulé pour prendre des notes lors d’une réunion ou si vous passez des heures à répondre une série infinie d’e-mails, alors peut-être dans bas que vous ne pouvez pas trouver C’est à ton travail. C’est ce que David Graeber appelle, d’ailleurs, Souffrance spirituelle. » Quoi ? quel que soit votre travail, avoir des missions porteuses de valeurs sont la garantie être capable de prospérer et de satisfaire dans votre vie professionnel, et par extension, dans votre vie sonale.